Connexion. Pratique du francais. Cahier d’activites a l’usage des etudiants en fle des niveaux B2-B2+ = Французский язык. Практика речи. Тетрадь для закрепления навыков для студентов уровней B2-B2+
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Тематика:
Французский язык
Издательство:
ФЛИНТА
Автор:
Компуэн Франсуаз
Год издания: 2023
Кол-во страниц: 154
Дополнительно
Вид издания:
Практическое пособие
Уровень образования:
ВО - Бакалавриат
ISBN: 978-5-9765-51998
Артикул: 810486.01.99
Тетрадь дополняет учебник Connexion B2-B2+ и представляет собой сборник аналитических статей с вопросами на актуальные для Франции темы. Она позволяет прорабатывать представленный в учебнике материал, полностью воспроизводя логику его глав. Тетрадь особенно удобна для тех учащихся, которые осваивают материал в одиночку, поскольку дополняется ключами, подробными ответами на каждый вопрос и дополнительными комментариями в тех случаях, где могут возникнуть сложности.
Le cahier d’activités Connexion s’inscrit entièrement dans la logique du manuel qu’il complète en proposant un recueil d’articles analytiques dont chacun reprend rigoureusement l’ordre et l’esprit des sujets traités. Tout comme le manuel, chacun invite à une analyse attentive des textes, au perfectionnement du lexique associé et à l’expression écrite de sa pensée. Les corrigés permettent un apprentissage autonome. Les réponses aux questions complexes se doublent d’explications ce qui contribue à créer une impression d’encadrement si l’apprentissage se fait en solo.
Тематика:
ББК:
УДК:
ОКСО:
- ВО - Бакалавриат
- 44.03.01: Педагогическое образование
- 45.03.01: Филология
- 45.03.02: Лингвистика
ГРНТИ:
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Франсуаз Компуэн CONNEXION PRATIQUE DU FRANCAIS CAHIER D’ACTIVITES A L’USAGE DES ETUDIANTS EN FLE DES NIVEAUX B2-B2+ ФРАНЦУЗСКИЙ ЯЗЫК ПРАКТИКА РЕЧИ ТЕТРАДЬ ДЛЯ ЗАКРЕПЛЕНИЯ НАВЫКОВ ДЛЯ СТУДЕНТОВ УРОВНЕЙ B2-B2+ Москва Издательство «ФЛИНТА» 2023
УДК 811.133.1(075.5) ББК 81.471.1я73 К63 Компуэн Ф. Connexion. Pratique du francais. Cahier d’activites a l’usage des etudiants en fle des niveaux B2-B2+ = Французский язык. Практика речи. Тетрадь для закрепления навыков для студентов уровней B2-B2+ / Франсуаз Компуэн. — Москва : ФЛИНТА, 2023. — 154 с. — ISBN 978-5-9765-5198-5. — Текст : электронный. Тетрадь дополняет учебник Connexion B2-B2+ и представляет собой сборник аналитических статей с вопросами на актуальные для Франции темы. Она позволяет прорабатывать представленный в учебнике материал, полностью воспроизводя логику его глав. Тетрадь особенно удобна для тех учащихся, которые осваивают материал в одиночку, поскольку дополняется ключами, подробными ответами на каждый вопрос и дополнительными комментариями в тех случаях, где могут возникнуть сложности. Le cahier d’activités Connexion s’inscrit entièrement dans la logique du manuel qu’il complète en proposant un recueil d’articles analytiques dont chacun reprend rigoureusement l’ordre et l’esprit des sujets traités. Tout comme le manuel, chacun invite à une analyse attentive des textes, au perfectionnement du lexique associé et à l’expression écrite de sa pensée. Les corrigés permettent un apprentissage autonome. Les réponses aux questions complexes se doublent d’explications ce qui contribue à créer une impression d’encadrement si l’apprentissage se fait en solo. УДК 811.133.1(075.5) ББК 81.471.1я73 ISBN 978-5-9765-5198-5 © Компуэн Ф., 2023 © Издательство «ФЛИНТА», 2023 К63
CHAP I T RE I. FAMILLE ET FAMILLES Document 1. Le saviez-vous ? Le bonheur familial se mesure. En 2011, l’Ipsos a réalisé une enquête pour le compte de l’association CLER Amour et Famille montrant que la famille reste une valeur essentielle de la société, mais aussi plus que cela, l’une des principales conditions du bonheur. Et ce, même si elle rencontre de réelles diffi cultés. Les français expriment un fort attachement à leur famille. En octobre 2011, Étienne Mercier, directeur du département Politique et Opinion chez Ipsos Public Affairs, présentait cette enquête en soulignant d’abord que « les Français expriment encore aujourd’hui un très fort attachement non seulement à LA famille en général, mais aussi à la LEUR. Ainsi, la majorité d’entre eux considère que pour être le plus heureux possible, il faut d’abord réussir sa vie familiale (54%), loin devant sa vie amoureuse (24%), sa vie intérieure (10%) ou encore sa vie professionnelle (8%) et sa vie sociale (4%) ». Parmi les autres chiffres notables, on retiendra que la famille arrive en tête de classement chez les plus jeunes (citée par 34% des 16—24 ans, devant la vie amoureuse — 28%) comme chez les plus âgés (40% chez les 55 ans et plus). La quasi-totalité des Français considère ainsi que la famille reste la valeur centrale de notre société (90% dont 53% pensent même que c’est « tout à fait » le cas). Et les plus jeunes considèrent encore massivement que la famille est le principal élément structurant de la société française (79% des 15—24 ans). La famille renvoie à des sentiments forts. Leur famille leur évoque d’ailleurs des valeurs extrêmement positives qui illustrent bien le très fort attachement qu’ils lui vouent. Leur famille renvoie d’abord et avant tout les personnes interrogées à des sentiments extrêmement forts tels que l’amour (64%), la complicité (48%), la tendresse (41%), la protection (41%), la solidarité (39%), le dialogue (38%) ou encore le plaisir (33%). Les sentiments négatifs arrivent loin derrière. Seuls 28% des Français évoquent un sentiment négatif lorsqu’ils pensent à leur famille (contre 95% qui citent au moins un sentiment positif). Surtout, la famille est considérée comme un élément central de l’intégration sociale, affective et professionnelle. Pour autant, les Français et a fortiori les parents estiment aussi que la famille rencontre de réelles diffi cultés notamment dans le domaine de l’autorité et des relations avec leurs enfants. Pas parfaite, certes, mais sans doute perfectible, la famille reste le fondement de notre bonheur individuel. Le BNB, indicateur de bonheur. Et si on mesurait le bonheur plutôt que la richesse ? C’est l’idée un peu farfelue qui a traversé l’esprit de Jigme Singye Wangchuck, alors roi du Bhoutan1, en 1972. Le concept du Bonheur national brut (BNB) était né, calqué sur le Produit intérieur brut (PIB), outil de mesure traditionnel de la santé économique d’un pays. Depuis, l’idée a fait son chemin, se transformant 1 Le Bouthan est un pays d’Asie du sud situé dans l’Est de la chaîne de l’Himalaya.
en véritable indicateur économique, repris sous diverses formes par l’ONU et l’OCDE, entre autres. Si le souverain ne plaisantait pas quand il a fait cette annonce médiatique, il lui faudra attendre 1998 pour mener à bien son projet. L’objectif est alors simple : concilier les valeurs spirituelles du bouddhisme avec la possibilité d’une croissance durable. Aujourd’hui, le concept, qui repose sur quatre critères (« croissance et développement économique », « conservation et promotion de la culture », « sauvegarde de l’environnement et utilisation durable des ressources » et « bonne gouvernance responsable ») n’est pas seulement l’un des piliers de la politique du Bouthan (qui est par ailleurs le seul pays à présenter un bilan carbone2 positif), il a fait des émules : si aucun autre pays ne mesure son BNB, l’OCDE a notamment créé en 2011 le Bonheur intérieur brut, un indicateur agrégeant onze thématiques et établissant un classement des pays où il fait « bon vivre ». En 2018, c’est en Finlande qu’on est le plus heureux, devant la Norvège et le Danemark (la France est 23e). Et les enjeux à venir pourraient encore renforcer la pertinence de ce concept peut-être visionnaire... Familipsy.com Lisez l’article et répondez aux questions ci-dessous. 1. Caractérisez la place qu’occupe la famille dans le système de valeurs des Français. 2. Comparée au classement de la réussite familiale, comment défi nir la place impartie à la réussite professionnelle ? 3. Le sentiment positif lié à la famille, est-il exclusif des sentiments négatifs ? Est-ce que ce sentiments négatifs occupent une place signifi cative dans l’enquête ? Une place négligeable par rapport aux données recueillies ? 2 Le bilan carbone est le taux d’émission de gaz à effet de serre liés à l’activité humaine. Il est largement utilisé, voire obligatoire dans certains secteurs, depuis 2010.
4. Quelle est la source de diffi culté principale qui empêcherait la famille d’être aussi parfaite qu’on le souhaiterait ? 5. Relève-t-on une différence générationnelle dans le regard porté sur l’importance de la vie familiale ? 6. Qu’est-ce le BNB ? De quel indicateur s’inspire-t-il ? 7. Comment expliquer que l’idée du BNB soit née dans un pays tel que le Bouthan ? 8. Selon vous, pourquoi est-ce que l’auteur de l’article a jugé bon de préciser que le Bouthan est le seul pays du monde à présenter un bilan carbone positif ? Quelle (quelles) conclusion(s) pourrait-on en tirer ? 9. Proposez des équivalents aux mots et expressions soulignés. a fortiori : perfectible :
farfelu : faire des émules : 10. Que pensez-vous du BNB ? S’agit-il d’un indice fi able ? Quels facteurs auriez-vous inclus dans le calcul ? Document 2. Le confi nement fatal pour certains couples : les divorces en hausse. C’est une des conséquences du confi nement : les procédures de divorce sont en hausse. Il est encore trop tôt pour donner des chiffres, mais les professionnels s’en rendent déjà compte. Exemple à Caen dans le cabinet d’une avocate qui ne fait que du droit de la famille. Elle croule sous les demandes. Les couples à l’épreuve du confi nement. C’est tout l’un ou tout l’autre. Au bout de pratiquement deux mois de confi nement, on commence à constater une augmentation du nombre de procédures de divorce. Dans son cabinet caennais où elle ne fait que du droit de la famille, Pascale Lagoutte voit arriver des clients déterminés : « Leur discours c’est : j’ai pris ma décision; avant je m’interrogeais, mais le confi nement a été le déclencheur ». Une décision mûrement réfl échie pendant le confi nement... ou alors précipitée par la découverte d’une infi délité : « Des portables qui ont traîné, et là c’est plus pareil... ou des gens qui avaient une relation extraconjugale et qui le vivaient plutôt pas mal avant, mais qui s’aperçoivent qu’après six semaines de confi nement, il faut prendre une décision », énumère l’avocate. On avait déjà des délais un peu longs, mais là c’est catastrophique Le problème c’est qu’actuellement les juridictions sont débordées. En début d’année, la grève des avocats avait déjà conduit à renvoyer beaucoup de dossiers. Le confi nement n’a rien arrangé : « Il n’y a pas eu de décisions rendues pendant le confi nement. Et aujourd’hui pour les couples non mariés, une requête déposée aujourd’hui pour les pensions alimentaires, les droits de visite et d’hébergement pour les enfants, on est déjà à février 2021 ! On avait déjà des délais un peu longs, mais là c’est catastrophique, il faudrait plus de personnel de greffe voire des magistrats pour qu’il y ait des audiences en surplus », se désole-t-elle. En attendant, il faut donc que les conjoints séparés essayent de se mettre d’accord. Et en pleine séparation, ce n’est pas simple. Alors notre travail, conclut l’avocate, c’est aussi de donner des conseils et d’être psychologues en ce moment. 1. Lisez l’article et résumez le plus brièvement possible les deux problèmes qu’il soulève.
— — 2. Retrouvez dans le texte les équivalents de : isolement forcé : élément provocateur, catalyseur : adultère : arrêt provisoire de travail : temps d’attente : 3. Expliquez dans le contexte la phrase soulignée : « C’est tout l’un ou tout l’autre « . Document 3. Solitude : le paradoxe des nouveaux outils de communications. INTERVIEW — Jacques Arènes, psychologue clinicien et psychanalyste, se penche sur les nouvelles solitudes complexes qui ont émergé ces dernières années. LE FIGARO. — Dans votre livre, bouleversant, vous répondez aux lettres que des lecteurs vous adressent sur Internet. Ces messages ne constituent-ils pas, déjà, une forme de victoire sur la solitude ? Jacques ARÈNES. — Oui, et c’est là tout le paradoxe de ces nouveaux outils de communication. À la fois, ils permettent à ces personnes de se désinhiber, de dépasser leur peur du psy, ou leur méconnaissance totale de ce milieu ; aller sur Internet est aussi un moyen pour beaucoup d’échanger et même de retrouver les pouvoirs thérapeutiques de l’écriture qui incite à la réfl exion sur soi... Mais, en même temps, ces outils, s’ils occupent toute la place relationnelle, peuvent devenir source d’une solitude plus tragique. En quel sens? Je reçois de jeunes adultes par exemple qui n’ont plus qu’un ami..., qui est virtuel. Quelqu’un avec qui ils communiquent uniquement sur Internet ; une mère de quatre enfants me confi ait que sa seule vie sociale consistait en des jeux de rôles sur la Toile car, affi rmait-elle, elle ne pouvait laisser seuls ses enfants. En réalité, il y a problème quand, comme pour ces personnes, qu’on peut voir comme des « pauvres en Internet », il n’y a plus que ces relations virtuelles. L’équilibre, c’est une palette relationnelle qui embrasse à la fois des rencontres
« dans la vraie vie » et aussi des échanges via des écrans. Sinon, il est évident que le lien présentiel vient à manquer. Quelles sont les conséquences de telles carences relationnelles? J’observe aujourd’hui des solitudes complexes. Celles des jeunes adultes notamment que leur entourage ne perçoit pas du tout comme ça, mais en réalité ces jeunes souffrent d’une solitude « d’étayage », c’est-à-dire qu’ils ressentent un manque de consistance en eux. Ils sont pris dans un vertige: celui naissant des choix qu’ils ont à faire, eux seuls, ou encore de la perception de leurs limites intérieures... Je vois aussi ce que j’appelle « une solitude des bilans ». Là ce sont des personnes de 45, 50, 60 ans qui vivent dans une amertume et une frustration qui s’est installée: ils n’ont que peu de liens avec leurs enfants, ont divorcé ou vivent une vie de couple confl ictuelle, et tout à coup se sentent pris dans un rétrécissement. L’horizon se fait plus près et ils se demandent comment, fi nalement, réussir leur vie? Mais cela vient beaucoup de l’illusion qu’ils ont concernant la vie des autres, et des idéaux irréalistes que la société diffuse à travers les médias... Il y a aussi toutes les situations de rupture. On pense aux ruptures amoureuses, mais il y en a bien d’autres: des enfants qui ne voient plus leurs parents, des amis qui ne se parlent plus... Enfi n, je ne peux que constater que le lien est devenu fragile. Pourquoi? Aujourd’hui, beaucoup vivent des trajectoires plus complexes. Les jeunes, par exemple, partent étudier à l’autre bout du monde et en même temps, ils savent combien un lien authentique est important maintenant que le lien obligatoire a disparu... Alors s’engager dans une relation amoureuse leur est sans doute plus diffi cile qu’avant. Beaucoup alternent entre des relations fusionnelles puis des temps de solitude, mais ils savent que cette question du lien est essentielle. Alors ils se demandent: comment cultiver un lien? Comment le réparer? Tout cela est l’occasion d’un beau travail sur soi. L’important, c’est qu’un sentiment de honte ne vienne pas s’ajouter au sentiment d’isolement, ce qui peut devenir un stigmate. Vous écrivez: « Il faut ruser avec la solitude ». Qu’entendez-vous par là? On peut avoir le sentiment d’être pris au piège, mais surtout, il ne faut pas se laisser enfermer dans cette défi nition de soi comme « je suis seul ». La solitude n’est pas un destin et le temps peut être un allié pour la contrecarrer. Écrire, aller voir un psy ou faire une rencontre peut tout à coup donner enfi n la sensation d’être reconnu. *Jacques Arènes est chroniqueur pour l’hebdomadaire « La Vie ». Il vient de publier Questions de vie, un psy face aux détresses d’aujourd’hui (Éd. du Seuil, collection « Points / Vivre ») Le Figaro, 05.05.2017 1. Résumez en quelques phrases l’essentiel du texte. 2. En quoi la solitude se présente-t-elle comme polymorphe?
3. Comment se fait-il que notre modernité ait ouvert la boîte de Pandore de la solitude? 4. Est-ce que les effets décrits par l’expert sont présentés comme étant irréversibles? 5. Relevez tous les mots qui renvoient à l’idée de malaise, de souffrance, d’abandon. 6. Quel synonyme de « relation « revient le plus souvent dans le texte ? 7. « Pauvres en Internet » : expliquez dans le contexte l’idée introduite par cette image. 8. En vous appuyant sur le contexte, précisez le sens du verbe « embrasser » (« l’équilibre, c’est une palette émotionnelle qui embrasse à la fois ... »).
9. Recherchez dans le dictionnaire (larousse.fr ou linternaute.fr) le sens propre et le sens fi guré du terme « étayage ». 10. Parlez de votre expérience. Y-a-il dans votre entourage des gens qui se plaignent d’être seuls? Vous-même, comment défi niriez-vous la solitude ? Document 4. « Le mariage a perdu son rôle de rite fondateur du couple » INTERVIEW Laurent Toulemon, chercheur à l’Ined, analyse la perte de vitesse du mariage, qui a accusé une baisse de 6% en France entre 2012 et 2013 selon les chiffres de l’Insee révélés ce jeudi... Le mariage serait-il de venu ringard? Selon une étude de l’Insee rendue publique jeudi, le nombre de mariages hétérosexuels célébrés en 2013 (231.225) est le plus bas enregistré en France. Une réalité sociale qu’analyse Laurent Toulemon, chercheur à l’Ined. Les unions hétérosexuelles ont baissé de 6% entre 2012 et 2013. Est-ce signe d’un déclin continu du mariage ? Il faut relativiser la baisse d’une année sur l’autre, d’autant que si on ajoute le nombre de mariages de personnes du même sexe (7.500 en 2013), la baisse n’est que de 7.500. En revanche, le nombre de mariages a fortement diminué depuis les années 1970. Car pendant les années 70—80 et avec la diffusion de la pilule, il a perdu son rôle de rite fondateur du couple. Mais comment expliquer sa chute depuis les années 2000 ? D’abord, par l’arrivée du Pacs en 1999 qui a permis aux couples de rendre publique leur union sans passer par la case mariage. De plus, les avantages fi scaux sont désormais identiques pour ces deux types d’union. Du coup, environ 160.000 couples se pacsent chaque année. Mais pourtant le mariage confère plus de droits aux membres du couple que le Pacs...